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TRANSCRIPTION TEXTUELLE

 

SPEAKER: Jeremy Fasquelle

Bonjour à tous, nous sommes ravis de vous accueillir aujourd'hui au Palais Chaillot, lieu emblématique de la vie culturelle française, pour vous présenter nos thèmes d'investissement 2025. Cette année encore, nous avons identifié plusieurs tendances clés qui façonneront les marchés financiers et offriront des opportunités uniques pour nos investisseurs. Explorons ensemble ces thèmes et découvrons comment nous pouvons en tirer parti pour optimiser les portefeuilles de nos clients et saisir les opportunités de croissance. Pour répondre à mes questions, aujourd'hui, je suis accompagné de vos experts BNP Paribas Wealth Management et Banque Privée France. Tout d'abord, Isabelle Enos. Bonjour.

SPEAKER: Isabelle Enos

Bonjour Jeremy.

SPEAKER: Jeremy Fasquelle

Isabelle Enos est Responsable Stratégie Marchés, avec vous, nous parlerons d'infrastructures et de longévité en bonne santé. Guy Ertz, vous êtes Deputy Chief Investment Officer. Avec vous, nous parlerons notamment d'assouplissement monétaire et en quoi la diversification est toujours le maître mot, et enfin, Edmund Shing Bonjour Edmund, vous êtes Global Chief Investment Officer et avec vous, nous parlerons notamment d'intelligence artificielle et comment la monétiser. Parlons tout de suite des perspectives macroéconomiques pour 2025 et je m'adresse à vous, Guy. Tout comme en 2023. L'année 2024 a été marquée par des incertitudes sur plusieurs fronts. Que pouvons-nous attendre pour 2025 ?

SPEAKER: Guy Ertz

Tout d'abord, 2024 a certes connu pas mal d'incertitudes, mais on a quand même eu en soi une année positive pour les marchés. Cela a été une année avec une croissance qui est restée relativement forte et surtout, on a connu une normalisation de l'inflation, une baisse de l'inflation qui a permis aux banques centrales de commencer cette baisse de taux attendue évidemment depuis longtemps. Donc un environnement qui est resté porteur pour les grandes classes d'actifs. Et on pense que pour 2025 même évidemment avec un changement assez important puisqu'on a un nouveau président américain qui va effectivement lancer cette année 2025. On pense toutefois qu'on aura une continuité dans l'environnement de marché positif, une croissance qui restera soutenue, surtout aux Etats-Unis, l'inflation qui continuera sa baisse progressive et des banques centrales qui vont continuer à baisser les taux. Donc en soit, 2025, dans la continuité de 2024. Une année plutôt avec un environnement positif pour les marchés.

SPEAKER: Jeremy Fasquelle

Merci Guy pour ces perspectives macroéconomiques. Le thème numéro un s'intitule Surfer la vague de l'assouplissement monétaire et je me tourne vers vous Guy. Et il va intéresser particulièrement les investisseurs passionnés de macroéconomie. En 2024, les principales banques centrales ont entamé une série de réductions de leurs taux directeurs. Guy, pensez-vous que ce cycle de baisse se poursuivra en 2025 ?

SPEAKER: Guy Ertz

Oui, on a effectivement une inflation qui continue à se normaliser, donc la porte est ouverte à d'autres baisses de taux, surtout en Europe et donc on a un environnement évidemment, qui est un environnement positif pour certains types d'actifs. Et on a regardé évidemment dans l'historique quels sont les actifs qui profitent le plus d'un environnement de baisse de taux et pas de récession, donc un environnement où la croissance reste positive.

SPEAKER: Jeremy Fasquelle

Le cycle de baisse devrait se poursuivre alors ? Et quelle classe d'actifs bénéficie de taux d'intérêt directeurs plus bas ?

SPEAKER: Guy Ertz

Tout d'abord, il faut réaliser que les liquidités. La rémunération des liquidités est fortement liée aux taux d'intérêt de la Banque centrale, aux taux d'intérêt directeurs. Et vu qu'on attend une baisse des taux, il faut aujourd'hui être conscients que les liquidités vont être moins bien rémunérées. Au fil du temps, les prochains mois. Donc aujourd'hui, pour nous, une opportunité d'investir des liquidités dans des obligations, en particulier des obligations d'entreprises de qualité sur des maturités pas trop longues. Donc on parle de trois ou quatre ans notamment, et ce sont des obligations qui offrent aujourd'hui des coupons, des rendements qui sont encore intéressants. Et on peut effectivement fixer le rendement via le coupon sur des maturités, donc de trois ou quatre ans. Donc ça c'est la première idée ici. La deuxième fait référence à la classe d'actifs actions. Ici, on va regarder des thématiques comme les valeurs plutôt cycliques aussi, les petites capitalisations boursières et dans les secteurs plus spécifiquement le secteur bancaire. Une troisième dimension, ce sont les actifs alternatifs, donc typiquement les matières premières et surtout les métaux précieux, entre autres l'or. Évidemment, au-delà de ça aussi, l'immobilier cotées en Europe en particulier, c'est un actif qui profite de taux plus bas, surtout quand l'économie résiste quand on n'a pas de récession. Et une dernière classe serait les produits structurés parce qu'ils permettent de bénéficier de l'environnement tout en ayant souvent un coussin de sécurité, donc une perte qui est limitée en fonction des paramètres du produit structuré.

SPEAKER: Jeremy Fasquelle

Justement, vous mentionnez l'or. Les métaux précieux tels que le métal or ont tendance à bien performer dans les cycles de baisse des taux d'intérêt. La baisse du coût du financement est-elle également les classes d'actifs à effet de levier ? Et si oui, lesquelles ?

SPEAKER: Guy Ertz

Alors peut-être pour clarifier un petit peu les classes d'actifs qui sont dans un contexte d'effet levier, on a typiquement des fonds qui vont investir dans des actifs non cotés. Donc on a par exemple l'infrastructure, on a aussi l'immobilier ou les fonds private equity, le capital à risque traditionnel et pourquoi ces fonds utilisent un effet levier et ont un effet lié à la baisse des taux d'intérêt. Souvent, ces fonds se financent avec un financement à taux variable et les taux variables s'ajustent en fonction des taux directeurs. Donc, si on attend une baisse des taux directeurs, on aura aussi une baisse du coût de financement de ces fonds à effet levier. Et de là l'idée, effectivement, que ces fonds ont un potentiel intéressant aujourd'hui.

SPEAKER: Jeremy Fasquelle

Merci Guy pour ce thème numéro un sur, Surfer la vague de l'assouplissement monétaire. Nous allons parler maintenant du deuxième thème très porteur intitulé Infrastructure : la nouvelle révolution industrielle. L'infrastructure est essentielle pour connecter les personnes, les lieux, les informations, les ressources et les marchés. Je vais m'adresser à vous, Isabelle. Pourquoi se concentrer sur cette thématique aujourd'hui ?

SPEAKER: Isabelle Enos

Eh bien, tout simplement parce que les besoins d'infrastructure sont exponentiels actuellement et ils ont plusieurs origines. Tout d'abord, le développement des nouvelles technologies telles que l'intelligence artificielle et les centres de données associés, les véhicules autonomes ou encore l'Internet mobile 5G. Ensuite, l'accélération de la transition énergétique et l'électrification de l'économie mondiale. Enfin, les ambitions en matière d'infrastructure des États-Unis et de l'Europe ainsi que les mesures de relance budgétaire chinoise stimulent actuellement les investissements dans les infrastructures.

SPEAKER: Jeremy Fasquelle

Ces trois points sont essentiels. Et lorsque vous parlez d'électrification, quelle tendance sous-jacente accélère cette transition ?

SPEAKER: Isabelle Enos

Alors là aussi, les tendances sous-jacentes sont nombreuses. Premièrement, le passage aux véhicules électriques et hybrides va s'accélérer grâce à des normes d'émissions plus strictes, notamment dans l'Union européenne. Deuxièmement, la demande en électricité va s'accroître avec l'électrification des bâtiments. Par exemple, la multiplication des installations de climatisation et de pompes à chaleur, mais aussi par l'intensification de l'automatisation. Enfin, la dernière grande tendance recouvre l'expansion des data centers pour l'intelligence artificielle et les centres de minage de cryptomonnaies.

SPEAKER: Jeremy Fasquelle

Toutes ces tendances sous-jacentes sont éclairantes. Et si on parle d'investissements, comment pourrait-on implanter cette thématique infrastructure au sein des portefeuilles de nos clients ?

SPEAKER: Isabelle Enos

Alors si on s'intéresse plus particulièrement à la modernisation de la production d'électricité, la capacité de transmission est un axe clé. Nous allons donc retrouver des investissements dans les énergies renouvelables, mais également dans les solutions de stockage d'énergie, dans les équipements électriques tels que les transformateurs ainsi que les câbles à base de cuivre. Autre sous thématique d'investissements l'infrastructure numérique et la cybersécurité pour soutenir les paiements numériques et l'Internet des objets. Cela recouvre également les infrastructures de transport. Bien entendu, les infrastructures ferroviaires, notamment à propulsion électrique, mais aussi les réseaux de stations de recharge pour les véhicules électriques qui sont indispensables. L'investissement dans les infrastructures hydrauliques sera également déterminant à l'échelle mondiale, avec le développement des réseaux dans les pays émergents et la rénovation des réseaux dans les pays développés ou la perte en eau potable est devenue un vrai enjeu. Derniers axes d’investissements dans les infrastructures, les matériaux pour la construction qui peuvent inclure des équipements électriques, des matériaux industriels et de transition comme le cuivre, l'argent ou encore le zinc. Cela comprend aussi les investissements dans les matériaux traditionnels comme le ciment ou le béton, ainsi que les matériaux d'isolation.

SPEAKER: Jeremy Fasquelle

Merci beaucoup Isabelle d'avoir partagé ces perspectives éclairantes sur les tendances et les opportunités d'investissement dans les infrastructures. Le thème numéro trois s'intitule La diversification reste le maître mot et parle d'allocation. Et je m'adresse à vous Guy, pourquoi dans l'environnement actuel, avons-nous besoin de toujours plus de diversification au sein d'un portefeuille ?

SPEAKER: Guy Ertz

Tout d'abord, il y a la leçon des dernières années, en particulier l'année 2022, qui avait été une année marquée par une forte remontée des taux d'intérêt des banques centrales et qui avait pénalisé les deux grandes classes d'actifs, les actions et les obligations. Donc typiquement un environnement où la diversification n'a pas bien joué et où il était particulièrement important d'avoir aussi d'autres classes d'actifs. Le deuxième élément qui est important, c'est qu'aujourd'hui on observe une concentration assez importante dans des indices boursiers comme l'indice américain des grandes valeurs de la techno. Donc les sept magnifiques comme on souvent en entend dans les médias. Ces titres représentent aujourd'hui un poids important, voire très important, non seulement dans les indices américains, mais même dans des indices globaux. Ça, c'est évidemment un signal aussi, là, d'un danger et d'un besoin de diversification. Donc voilà les deux grands éléments aujourd'hui qui soutiennent l'idée, qui argumente pour plus de diversification.

SPEAKER: Jeremy Fasquelle

Alors, cette diversification, elle est essentielle, on l'a bien compris. Et quelles sont les solutions et actifs que nous pouvons envisager d'ajouter à un portefeuille comprenant des actions et des obligations ?

SPEAKER: Guy Ertz

Alors, il y a plusieurs stratégies possibles ici. La première est typiquement par le biais des fonds alternatifs. Donc on parle ici de fonds qui ont des stratégies similaires aux stratégies de hedge fonds et en particulier des stratégies qu'on pourra privilégier sont les stratégies de relative value et les stratégies de suivi de tendance de trend following. Donc ça, c'est une première dimension. Après, effectivement, on a aussi les matières premières, en particulier les métaux précieux, donc l'or effectivement ici aussi. Et puis aussi la dimension des fonds immobiliers avec ici plutôt l'idée de se concentrer sur l'eurozone où on a plus de potentiel de baisse de taux et qui est une classe d'actifs aussi qui a permis plus de diversification quand on regarde les dernières décennies.

SPEAKER: Jeremy Fasquelle

Merci Guy pour ce thème numéro trois sur la diversification. Reste toujours le maître mot. Nous allons parler maintenant d'IA avec ce quatrième thème intitulé Monétiser l'intelligence artificielle et je m'adresse à vous Edmund. Nous en avons beaucoup entendu parler. 2023 et 2024 ont été dominés par l'engouement croissant pour l'intelligence artificielle et en particulier pour les applications d'IA générative telles que Chat GPT. Nous en avons d'ailleurs largement parlé lors de nos thèmes d'investissement 2024. Récemment, nous avons observé des investissements importants de la part des entreprises publiques et privées dans cette nouvelle ruée vers l'or technologique. Mais quels sont les risques pour cette méga tendance d’investissement ?

SPEAKER: Edmund Shing

Eh bien, Jeremy quand on parle de risques concernant l'intelligence artificielle, je pense qu'on peut se rappeler de ce qui s'est passé en 2000 avec la bulle Internet. Il est quand même difficile aujourd'hui de savoir pour le moment à quel point cette vague massive d'investissements dans l'IA sera enfin productive. A notre avis, il existe un risque lié à la construction de ces modèles et des logiciels coûteux qui ne génèrent finalement pas le rendement escompté. Il est aussi difficile de prédire quelle sera la concurrence, en particulier dans les domaines comme l'IA générative. Les acteurs sont nombreux, avec peut-être de nombreux produits similaires arrivant sur le marché en même temps. Bref, une offre bien trop supérieure à la demande. Donc il s'agit selon nous d'un risque important.

SPEAKER: Jeremy Fasquelle

Alors vous parlez de risque autour de cette thématique. Peut-on malgré tout encore investir dans la tendance de croissance de l'IA aujourd’hui ?

SPEAKER: Edmund Shing

Bien sûr que oui. Il existe toujours des opportunités attractives dans certains segments dérèglements liés à l'intelligence artificielle, en investissant par exemple dans les besoins de génération et de transmission d'électricité. Car nous savons que l'IA est très gourmande en énergie. Pour donner un exemple, une recherche utilisant Chat GPT consomme dix fois plus l'énergie d'une recherche classique faite avec Google. Deuxièmement, il y a l'investissement dans le développement des data centers, les racks, les systèmes de refroidissement ou même les câblages nécessaires pour ces data centers. On peut aussi investir directement dans l'immobilier de ces data centers. Et troisièmement, on peut inclure des secteurs non technologiques qui pourraient exploiter la puissance de l'IA. Ces secteurs incluraient la finance, en particulier les compagnies d'assurance, pour une meilleure tarification des risques. On peut aussi citer le commerce de détail, par exemple pour un meilleur suivi des stocks et des inventaires, la santé pour la découverte des médicaments et des meilleurs outils de diagnostics. Et enfin, on pense à tout ce qui est lié au service client, avec l'utilisation à grande échelle de chatbots qui se sont révélés beaucoup plus efficaces que les opérateurs humains. Et aussi une plus grande efficacité dans des domaines tels que la robotique qui seront de plus en plus introduits dans les secteurs industriels.

SPEAKER: Jeremy Fasquelle

Merci beaucoup Edmund pour ce thème numéro quatre Monétiser l'intelligence artificielle. Et maintenant nous allons parler de santé avec ce thème numéro cinq intitulé Vieillir jeune, la révolution de la longévité. Et je m'adresse à vous, Isabelle, Pourquoi êtes-vous si enthousiaste à propos de ce thème de l'espérance de vie en bonne santé ?

SPEAKER: Isabelle Enos

Eh bien, tout simplement en raison du potentiel extrêmement important qu'il recouvre dans l'Union européenne. L'espérance de vie à 65 ans dépasse aujourd'hui les 20 ans, ce qui nous donne une durée de vie totale de plus de 85 ans. Vivre plus longtemps est devenu la nouvelle norme, mais cela pose de nombreux défis, à la fois sanitaire, économique et financier. Donc, au-delà de s'intéresser à la durée de vie, c'est la durée de vie en bonne santé sur laquelle nous devons avoir une attention particulière. Et là, ce chiffre n'est aujourd'hui que de 63 ans au sein de l'Union européenne. Cela doit s'améliorer.

SPEAKER: Jeremy Fasquelle

J'ai bien compris que vivre plus longtemps est un enjeu crucial. Quels facteurs peuvent améliorer la durée de vie en bonne santé ?

SPEAKER: Isabelle Enos

Les facteurs pour vieillir en bonne santé sont nombreux. Ils tiennent tout d'abord du changement de comportement. La diminution de la consommation de tabac et d'alcool aura clairement un impact, comme le fait d'accorder un soin particulier à son sommeil et à la gestion du stress. Enfin, l'alimentation sera clé avec des régimes plus sains et plus faibles en sucres ajoutés ou encore l'utilisation de compléments alimentaires. Une meilleure place à la prévention sera également déterminante dans les années à venir. De meilleurs diagnostics pour une prise en charge plus précoce des pathologies aidera à la guérison et aux soins. Les technologies médicales seront elles aussi déterminantes ? Enfin, l'amélioration de la recherche médicale, notamment sur les produits liés à l'âge, favoriseront le vieillissement en bonne santé.

SPEAKER: Jeremy Fasquelle

Les facteurs sont donc nombreux. Comment pouvons-nous profiter, en tant qu'investisseur de cette tendance, d'une meilleure longévité en bonne santé ?

SPEAKER: Isabelle Enos

Les possibilités d'investissement sont nombreuses et couvrent de multiples secteurs d'activités. Tout d'abord, sur l'aspect purement médical, l'émergence des produits anti-obésité et leurs nombreux applicatifs vont aider la longévité en bonne santé. Ils vont notamment retarder l'apparition des affections liées à l'âge et leur efficacité sur la perte de poids va réduire la survenue de maladies, notamment les maladies cardiovasculaires. Les nouveaux traitements anticancéreux basés sur l'immunothérapie améliorent les taux de survie aux cancers à long terme. Enfin, les traitements contre la maladie d'Alzheimer et la démence montrent un impact important sur le déclin cognitif. Mais au-delà de l'aspect médical, la technologie et ses applicatifs santé vont prendre une place considérable dans les années à venir. L'amélioration de la prévention passera par le développement des technologies portables, avec notamment des bagues d'acupressions qui aident à dormir, des montres intelligentes qui mesurent la tension artérielle. La demande également pour les lunettes, les appareils auditifs et d'autres dispositifs d'assistance pour les seniors. Comme les appareillages médicaux vont s'accroître considérablement. Mais le sujet du vieillissement est aussi un sujet financier. L'allongement de la durée de vie signifie travailler plus longtemps, même si cela présente un avantage sur la santé cognitive. Cela aura également une influence sur la gestion du patrimoine financier. Les citoyens toucheront un salaire et épargneront plus longtemps ce pouvoir d'achat croissant, des seniors devraient porter des activités telles que les voyages, les restaurants ou encore les assurances.

SPEAKER: Jeremy Fasquelle

Merci Isabelle pour ce thème numéro cinq, vieillir jeune la révolution de la longévité. Merci beaucoup d'avoir regardé cette vidéo spéciale consacrée à nos thèmes d'investissement en 2025. Si vous souhaitez lire notre présentation complète de ces thèmes et toutes nos recherches sur la stratégie d'investissement, n'hésitez pas à consulter notre site web ou contactez votre banquier privé. Nous vous souhaitons une très bonne année 2025. A bientôt.

Transcription Podcast - Nos thèmes d'investissement 2025